vendredi 9 mai 2025

Libertinage : quand le corps réveille ce que le couple avait endormi

Libertinage : quand le corps réveille ce que le couple avait endormi


On ne se lance pas dans le libertinage par hasard. Parfois, ce n’est pas un fantasme qui pousse à franchir le pas… mais une sensation plus discrète, plus intime : celle de s’être perdu en route, quelque part entre les obligations, les compromis, les silences. Et si le libertinage, au fond, était moins une transgression qu’un réveil de soi ?

Un couple fonctionnel… mais éteint

De nombreux couples vivent ensemble sans vivre vraiment. La complicité devient gestion. L’intimité devient prévisible. Le désir ? Il se cache derrière les "on verra demain". Et un jour, une idée traverse l’un des deux : “Et si on ouvrait la porte à autre chose ?”

Pas forcément pour aller voir ailleurs. Mais pour se sentir à nouveau vivant(e). Désiré(e). Choisi(e).

Le choc du premier regard extérieur

Dans le monde libertin, tout change : les codes, les mots, les attentes. Ce n’est plus “le conjoint” qui te regarde, c’est un inconnu. Et dans ce regard… il y a de l’envie. De la curiosité. Parfois de l’admiration.

Cela peut être grisant. Mais aussi déroutant. Car on découvre que l’on peut encore plaire, encore vibrer, encore exister autrement qu’à travers un quotidien planifié.

Quand le corps devient messager

Le libertinage n’est pas toujours une quête sexuelle. Il est souvent un appel du corps à l’âme. Un cri discret : “Tu m’as oublié, écoute-moi.” Dans l’étreinte d’un(e) autre, on ne cherche pas juste du plaisir. On cherche parfois à se reconnecter à une partie de soi mise de côté.

Libertinage ou trahison ?

Tout dépend du pacte. Un libertinage vécu à deux, avec respect et communication, peut renforcer un couple. Mais s’il devient une fuite solitaire, il peut aussi révéler que quelque chose est mort… ou prêt à renaître ailleurs.

Il n’y a pas de règle universelle. Juste une vérité : le désir est un indicateur. Ce qu’on en fait, c’est un choix.

Conclusion

Le libertinage ne sauve pas un couple. Il n’est ni bon, ni mauvais. Il est ce que chacun y met : besoin de frisson, besoin d’air, besoin d’exister. Il faut l’approcher avec honnêteté, et surtout avec la conscience que le corps ne ment jamais.

Et vous ? Avez-vous déjà ressenti un réveil intérieur dans un contexte inattendu ?


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